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PREMIÈRE CLASSE  DÉCOUVERTE À BELGRADE

Actualité des missions

PREMIÈRE CLASSE DÉCOUVERTE À BELGRADE

18 août 2025

Adieu classe de mer ! Bonjour classe découverte !

Solidarité Kosovo a tranché. C’en est fini avec les menaces, les intimidations et les pressions en tout genre qui avaient ciblé les jeunes participants et terni l’ambiance de la dernière classe de mer au Monténégro. Place à de nouvelles aventures à vivre en toute sécurité, à l’abri de toute violence physique et psychologique. Il est venu le joli temps des premières vacances pour ces enfants que la vie n’a pas épargnés.


Lundi 4 août

Arrivée à Suplja Stena : un écrin de verdure pour hébergement

Terminus, tout le monde descend ! Après huit heures de route, les participants sortent du car l’air endormi et intimidé. Il leur faut quelques minutes et deux-trois tours sur eux-mêmes avant de réaliser avec émerveillement qu’ils sont arrivés dans leur centre d’hébergement (camp d’été) à Suplja Stena. Un lieu à part, niché dans la forêt d’Avala, aux portes de Belgrade. Entre les pins et les prairies, il s’en dégage un mélange puissant de calme et d’énergie. Pendant que l’été frappe fort sur le bitume belgradois, les hauteurs de Suplja Stena apportent une brise rafraîchissante. De quoi réveiller les esprits et la gaieté collective pour profiter pleinement de ces premiers instants sur place !

« Bienveillance, sécurité, entraide, esprit d’équipe et plaisir. »

Une fois leurs sacs à dos récupérés, les enfants prennent connaissance du programme des excursions qui les attendent. Les réactions fusent : « Ouah, c'est génial ! ». L’équipe d’animateurs est ravie de retrouver l’ambiance de la classe de mer. « Ça a toujours été bon enfant ! » commente Boban, professeur d’arts plastiques avant de se faire chahuter amicalement par son acolyte Dejan, professeur d’éducation physique. Milovan, correspondant humanitaire de Solidarité Kosovo et professeur d’enseignement religieux prend à son tour la parole pour rappeler les consignes de sécurité. Le Père Serdjan poursuit avec la répartition des enfants dans les chambres et la remise des clés. Mais avant de s’installer dans leur nouveau logis, les enfants savourent le bon heur des retrouvailles avec Arnaud Gouillon. Le sourire franc et le regard ému, le Président de Solidarité Kosovo enlace un à un les jeunes participants prenant des nouvelles de chaque famille. Le fondateur de l’association n’aurait manqué pour rien au monde ce début de classe découverte et à en croire le ravissement des enfants, sa présence est tout aussi appréciée. « Pour nous, c’est le visage de Solidarité Kosovo et de ses donateurs ». Tijana l’associe à son « école réparée », Marko « au nouveau stade de foot » de son village quant à Dimitri il évoque le don de chèvres et sa vache qu’il aime tant et qu’ils lui manquent déjà.


Mardi 5 août

Le temple Saint-Sava, un chef-d’œuvre d’art mosaïque

La classe découverte commence son périple au cœur de la capitale par la visite du temple Saint-Sa va. Réplique de Sainte-Sophie, elle est la deuxième plus grande église orthodoxe du monde après celle du Saint-Sauveur à Moscou. Son nom, Sveti Sava, se veut un hommage à celui qui fut le fondateur de l’église orthodoxe en 1209, premier saint Serbe et figure culturelle et religieuse majeure. Les enfants sont médusés par la beauté des fresques et de la mosaïque. Les anecdotes du guide font virevolter les têtes : « Savez-vous combien de petits fragments ont été nécessaires pour composer la majestueuse mosaïque qui vous entoure ? 50 millions ! Ensemble ils pèsent 320 tonnes et s’ils s’étendaient sur une surface plane, ils couvriraient plus de 15 000 m2... Une mosaïque grande comme quatre stades de foot ! » L’image est éloquente sur tout chez les garçons qui impressionnés, hochent la tête. Une fois à l’extérieur le groupe ne se lasse pas de contempler l’architecture de l’édifice qui éblouit par sa blancheur immaculée... La photo souvenir est dans la boîte et déjà le groupe s’engouffre dans le centre-ville en direction de la place de la République où siège le musée national.

Plein feu sur Novo Brdo au musée national

Sur place, le guide présente la collection phare du musée dédiée à... Novo Brdo ! Quelle fierté pour les sept enfants originaires de ce village du Kosovo ! Ils n’auraient jamais imaginé qu’on évoque leur village en des termes aussi élogieux ici dans ce lieu prestigieux de la capitale. Haut-lieu du Moyen Âge serbe, Novo Brdo est bien connue pour sa forteresse. Peu en revanche savent que son sous-terrain abritait un trésor encore plus grand. Des gisements d’argent et d’or que les souverains de l’époque ont exploité pour financer la construction des églises et monastères de la région comme ceux de Gracanica et Visoki Decani. La visite se poursuit par celle du Musée Vuk et Dositej dans le vieux quartier de Dorcol. Les enfants se régalent en découvrant ce musée commémoratif dédié à deux grandes figures de la culture serbe : Dositej Obradovic, membre du Mouvement des Lu mières et premier ministre serbe de l’Éducation, et Vuk Karadzic, réformateur de la langue serbe et créateur de la langue populaire serbe. D’une pièce à l’autre de la vieille bâtisse qui autrefois servait d’école, le groupe découvre la collection des effets personnels et familiaux de Vuk Karadzic, des portraits et des œuvres d'art, des premières éditions de ses livres et de nombreux documents d'archives. La journée se poursuit et se ter mine à Kalemegdan. La pro menade au parc zoologique se prolonge sur les remparts pittoresques de la forteresse d’où les enfants admirent le coucher du soleil sur la confluence du Danube et de la Save. Dans le parc du Kalemegdan, les enfants créent des souvenirs au pied de la statue du "Vainqueur". Au musée national, les jeunes apprennent l'importance du village de Novo Brdo dans la riche histoire serbe.


Zoom sur… LE PARC ZOOLOGIQUE : UNE PREMIÈRE POUR LES ENFANTS

Avant d’admirer le coucher de soleil du haut des remparts de la forteresse de Kalemegdan, le groupe fait un passage obligé au parc zoologique. C’est une première rencontre avec le monde sauvage. Jamais les enfants n’avaient visité de parc zoologique. Il n’y en a tout simplement pas au Kosovo. Imaginez le regard fasciné des enfants qui se retrouvent presque nez à nez avec un lion, un crocodile, un lama, un aigle... Le zoo de Belgrade a beaucoup travaillé ces dernières années à améliorer les conditions d’accueil de ses résidents. Il s’est fait un devoir de respecter le bien être des animaux tout comme la protec tion de la faune et de la flore. Marija, treize ans, avance bouche bée d’enclos en en clos : « C’est un endroit incroyable. Je découvre des animaux venus du monde entier ! ». Dea est elle aussi estomaquée : « J’ai été très surprise de voir une girafe. C’est un animal tellement surprenant aussi bien par sa taille que par son pelage. Je vous assure que c’est encore plus beau en vrai que sur les photos. » Marko surenchérit « Moi aussi j’ai été émerveillé par les phoques qui nageaient et faisaient des tours dans l’eau comme s’ils se donnaient en spectacle rien qu’à moi ! »

Aperçu de la nouvelle image

Mercredi 6 août

La tour d’Avala, symbole de Belgrade

La grande tour d’antenne télé Avala est au programme ce matin. Regroupés sous cet immense édifice de 204 mètres de hauteur, les enfants écoutent attentivement son histoire tumultueuse. Initiale ment achevée en 1965, elle a été détruite lors des bombardements de l'OTAN en 1999. Reconstruite durant quatre ans, elle rouvre ses portes au public en avril 2010 et redevient le symbole de Belgrade. « On dirait une fusée géante posée sur trois pieds » commente Ilija admiratif. « Bien vu ! » félicite le guide qui poursuit : « son architecture n’a rien laissé au hasard. Elle est tout à fait symbolique car sa section transversale représente le trépied serbe ». Le guide invite le groupe à découvrir la vue panoramique qu’offre l’observatoire niché tout au sommet de la construction. À l’entrée de la tour, les enfants paraissent fébriles. L’un d’entre eux s’aventure à demander : « combien y a-t-il de marches à gravir ? » Le guide sourit en désignant les deux ascenseurs dans le hall : « Pas de panique, nous y serons propulsés en moins d’une minute ». Ouf, les enfants sont rassurés ! Depuis les hauteurs, ils savourent la vue exceptionnelle qui s’offre à eux à 360 degrés.

Succès pour la course d’orientation

Dans l’après-midi, la course d'orientation est annoncée. L’engouement est total ! « Être dans la nature et faire la course, ce sport allie deux choses que j’aime », confiait Petra en début de partie. Il faut dire que la météo ensoleillée et le parcours vallon né et boisé d’Avala ont largement contribué à la bonne humeur et à l’enthousiasme des participants. Par équipes, les quarante-deux jeunes orienteurs ont partagé un moment ludique et sportif, à la re cherche des balises à l’aide d’une boussole, tout en répondant à des questions. Les enfants ont évo lué en terrain inconnu mais n’ont pas perdu le nord ! Même Arnaud Gouillon, ancien scout – toujours scout dans son cœur et son es prit – le confirme : « Ils se sont bien débrouillés ! C’était une belle compétition à laquelle je tenais à participer personnellement car notre association est très attachée à la promotion du sport auprès des jeunes des enclaves. » Un soutien qui se traduit à travers les dons en matériel et les rénovations de lieux sportifs, comme dernièrement la rénovation d’un terrain de football avec tribunes dans l’enclave de Susica d’un montant de 30 000 € Au-delà de la course, les enfants ont pu faire plus amples connaissances dans un climat de convivialité. Au gré des activités et des visites, les liens se tissent entre les jeunes participants. La cohésion du groupe est en bonne marche ! Après avoir profité de la vue en haut de l'antenne, il est temps d'apprendre à s'orienter à l'aide de la boussole.


Jeudi 7 août

Golubac : le trésor du Danube de la Serbie

C’est un grand jour pour la classe découverte qui se rend à l'est de la Serbie pour explorer une ancienne merveille du Danube : l'imposante forteresse de Golubac. Emblématique, elle marque l'entrée du parc national de Derdap où se niche le canyon le plus profond d'Europe. Le Danube y atteint son point le plus large, à 6,2 kilomètres. Vigilante sentinelle, Golubac domine les méandres du Danube depuis le XIVe siècle. Tour à tour turcs, bulgares, hongrois, autrichiens, ces remparts sont aujourd’hui devenus une des attractions touristiques les plus populaires de la Serbie. L’atmosphère paisible est parfaite pour contempler la beauté exceptionnelle des lieux. « Les enfants, nous allons faire un voyage au Moyen Âge ! » annonce le guide en les invitant à pénétrer dans les remparts. Et c’est parti pour une aventure insolite à la découverte des douze tours de la forteresse. Les escaliers étroits et les salles innombrables transportent instantanément dans le temps. La magie des lieux opère : les garçons s’incarnent en rois, en chevaliers et en clercs, et les filles, sont des princesses à dé livrer mais aussi des savantes et des conquérantes ! Les scénarios "Les enfants, nous allons faire un voyage au Moyen Âge" Une journée à la forteresse de Golubac a permis aux enfants de mieux connaître l'histoire de leur peuple. se multiplient et les rires résonnent entre les vieilles pierres. « Oyez, oyez, braves gens, damoiselles et damoiseaux ! Il est venu le temps de rebrousser chemin » s’amuse Darko l’animateur. Les enfants re joignent le car la mort dans l’âme, triste de quitter ce terrain de jeux exceptionnel. Sur le chemin du re tour, le calme règne. Les regards se perdent dans les paysages Les enfants semblent marqués par l’expérience unique qu’ils viennent de vivre. Re pensent-ils au message d’adieu fort et poignant du guide. « Au Moyen Âge, "Tout est miracle". Le moindre phénomène avait une explication religieuse, et toute la vie était orientée en fonction de ce que Dieu veut pour les hommes. De nos jours, le matérialisme et la course au progrès ont détruit ce monde spirituel, qui, loin d’être obscur et ignorant, plaçait au cœur de ses préoccupations le respect de toute créature, et une vie en harmonie avec la nature. » Golubac restera assurément dans leurs mémoires tant pour son attrait touristique que pour sa portée spirituelle et philosophique.


Vendredi 8 août

Jeux et baignade à Ada Ciganlija, surnommée la « mer de Belgrade »

Ceux qui pensent que Belgrade n’a pas la mer ne connaissent Ada Ciganlija ! Afin de profiter des joies de l’eau, direction la perle bleue de la capitale. Situé sur la Save, en périphérie de la ville, ce plan d’eau de 4,2 km de long est un lieu de villégiature unique et très prisé. Les enfants débusquent une véritable oasis de verdure et de fraîcheur où une foule de gens se baigne, bronze et fait du sport. Badigeonnés de crème, encadrés par les animateurs, parés de gilets de sauvetage, ils n’hésitent pas et plouf ! Les plongeons et les acrobaties aquatiques s’enchaînent, les grands se prennent au jeu des sauts et retombent en enfance. C’est l’explosion de joie ! « La météo prévoit une journée de canicule » informe Milovan. « Même pas peur ! » poursuit-il en souriant les pieds dans l’eau. Les conditions sont idéales pour profiter de l’eau, se rafraîchir et se divertir. Il est 16 heures et le groupe n’a pas bougé d’un iota. À l’ombre, sur la plage en gravillon, un concours de cartes bat son plein tandis que dans l’eau du lac à 24 °C, deux équipes s’affrontent dans un match de water-polo très serré ! Les enfants savourent jusqu’aux dernières heures de la journée cette pause nature et détente au lac artificiel d’Ada Ciganlija, aux eaux cristallines et à la boucle parfaite. que le car sillonne.


Samedi 9 août

Unis grâce au foot

Si le joueur de tennis Novak Djokovic est le sportif le plus connu du pays, la Serbie demeure le royaume des sports d’équipe et de ballon rond où le football trône en roi. Le spectacle n’est pas que sur le terrain, il est aussi et sur tout dans les tribunes, dans les cafés, dans les maisons... partout où le match rassemble des spectateurs car le Serbe est supporter dans l’âme : c’est dans son ADN. Chaque match joué par l’équipe nationale est l’occasion de fédérer tous les Serbes d’où qu’ils soient, à Belgrade ou au Kosovo. « Lorsque la représentation serbe joue, toutes les familles des enclaves sont derrière le poste de télévision ou les radios à la main », explique Slavtche, l’animateur. « Il ne s’agit pas que d’un simple match sportif, c’est un moment patriotique, un temps d’unité. » On imagine alors l’excitation des enfants qui s’apprêtent à découvrir les deux plus grands stades du pays qu’ils ont souvent regardés ou imaginés depuis leurs enclaves. Devant l’immensité des stades et leurs pelouses verdoyantes, il n’y a plus un seul décibel. Le silence qui règne en dit beaucoup sur l’admiration que les enfants portent aux lieux. « C’est la première fois que je vois des stades de football aussi grands. C’est une dimension in croyable ! » Dusan livre ses impressions la main sur la joue. Avec ses camarades, ils écoutent tous très attentivement les explications du guide passionné de ballon rond qui les promène dans le musée des clubs, où les héros sont les joueurs d’hier et d’aujourd’hui tous auréolés de gloire, de coupes et de médailles. La visite des clubs belgradois s’achève. Les jeunes supporters en ont pour eu leur grade. Galvanisés, ils terminent la journée au centre d’hébergement par... un match de football, cela ne vous étonnera pas ! France contre Serbie ! La rencontre se solde par un match nul (2-2) mais plaisant à voir. Goal !


Dimanche 10 août

À vos arcs, prêts, faites-vous plaisir !

Du tir à l’arc classique en extérieur : l’activité du dernier jour de la classe découverte ravit les enfants. « S’essayer au tir à l'arc, c'est ressentir la magie de la flèche, la souplesse du geste et la puissance de l'arc » l’annonce du professeur Dimitri est prometteuse. À six mètres de la cible, les premières flèches sont tirées avec plus ou moins de succès. « C’est un sport de concentration qui demande de la précision et de la confiance en soi » résume admirablement Sacha, onze ans, de Gracanica dont la flèche a atterri dans le mille. Il a été élu « Archer du jour » à l’unanimité par ses camarades. « J’ai ressenti des sensations uniques, des émotions nouvelles » confie-t-il. Une vocation est-elle peut-être née ? En tout cas la flèche est lancée !


Lundi 11 août

Une atmosphère particulière règne en ce jour de départ. La première classe découverte touche à sa fin. Ce fut un magnifique séjour alliant patrimoine et nature, à la découverte des trésors serbes. Une véritable cure de bien être pour le corps et l’esprit des quarante-deux enfants du Kosovo qui jamais n’étaient sortis de leurs enclaves. Les médailles récompensant les efforts et les performances des enfants sont distribuées, les valises bouclées, les chambres libérées, les clés restituées. Le départ a sonné. « On ressent comme une crampe au cœur. Il y a un mélange de joie et de tristesse », confie Léa aux yeux tristes. Le départ est difficile et émotif. Alors c’est avec le cœur lourd et les yeux embués que nous nous saluons. Adieu les enfants du Kosovo-Métochie ! Adieu les animateurs ! Tous promettent de garder le contact avec les uns et les autres. Chacun va retourner chez soi, dans sa famille, dans son enclave, avec dans ses bagages et dans son esprit des souvenirs pour la vie et de nouvelles raisons de se battre. De nouvelles raisons de croire que la victoire sur soi-même et dans ses épreuves est possible. Bon vent, bonne mer les enfants !

L’équipe de Solidarité Kosovo a œuvré de tout cœur pour que cette première édition soit à la hauteur de la confiance et de la générosité exprimée par les donateurs de Solidarité Kosovo. Leur soutien a rendu possible la première classe découverte. Chers donateurs, soyez-en infini ment remerciés !


Zoom sur…POUR LA PREMIÈRE FOIS AU CINÉMA !

Que de grandes premières au cours de cette classe découverte ! Après la visite inédite du zoo, c’est au tour du cinéma d’ouvrir ses portes et d’accueillir pour la première fois dans une de ses salles les quarante-deux enfants du Kosovo-Métochie. Dans leurs enclaves dont la superficie se résume à celle d’un petit village français, il y a à peine de quoi survivre. Alors le cinéma... c’est un beau rêve. Pour ce baptême, Solidarité Kosovo a décidé d’emmener le joyeux groupe dans une salle de projection 3D, avec à l’affiche Lilo & Stitch, le plus gros succès du box-office en 2025. Et devinez un peu la fin ? Sa fourrure bleue, ses grands yeux et son côté coquin ont fait craquer nos jeunes spectateurs qui ont pu visionner le film lunettes 3D vissées sur le nez. Il faut dire que Stitch a de quoi séduire les enfants qui se reconnaissent dans ce personnage si espiègle, débordant d’énergie, drôle, mais aussi mignon, rassurant et profondément attaché aux valeurs de la famille et de l’unité.

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